Heureusement, il reste des fous en liberté...
Ça me rappelle que la veille de mon arrivée à Wallis, alors que je surveillais en pleine nuit un cargo qui rodait, y’a un fou de sa race qui est venu se poser juste au dessus de la cabine, prenant la balustrade pour un perchoir à poules...
Je voyais son trou de balle qui donnait pile dans le tombant de l’ouverture de la trappe et ça ma gonflé, alors je l’ai viré... Mais c’t’empaffé s’est retourné et m’a laché un cri glauque horrible qui m’a effrayé... Ni une, ni deux, il a pris un coup de gaffe dans la tronche, mais doucement, juste pour qu’il ait peur à son tour... Dieu soit loué, il n’avait pas chié... Mais ça m’a valu quelques remontrances de la part d’un internaute québéquois colombophile qui suivait ma balade...
Ben alors, si on peut plus foutre des torgnoles aux fous qui s’installent chez toi, où on va !